Soret, M., Maisonobe, JA., Desarnaud, S., Bergeret, S., Causse-Lemercier, V., Berenbaum, A., Rozenblum, L., Habert, MO., Kas, A., Ultra-low-dose in brain 18F-FDG PET/MRI in clinical settings. Sci Rep 12, 15341 (2022). Publication available at https://doi.org/10.1038/s41598-022-18029-7
Preventing unnecessary exposure without degrading image quality is highly desirable in diagnostic nuclear medicine. We previously showed that reducing the injected activity by one half (from 2 to 1 MBq/kg) while maintaining high diagnostic performance and image quality was feasible in brain 18F-FDG PET/MRI. In the present study, we hypothesized that injected activity could be reduced further. We found that injecting 0.2MBq/kg per exam, had no impact on quantitative measurements of brain 18F-FDG-PET/MRI in 50 patients assessed for cognitive impairment. However, interindividual reproducibility was decreased when PET images were analyzed visually, in patients with mild cognitive impairment and moderate cortical hypometabolism. These results suggest that a low-dose protocol (1 MBq/Kg) should be preferred in the context of neurodegenerative disease investigation with 18F-FDG-PET/MRI.
En médecine nucléaire, il convient de trouver le juste équilibre entre la nécessaire exposition du patient et le maintien de l’image à un niveau diagnostique. Nous avions précédemment montré que l’activité injectée en 18F-FDG-TEP/IRM pouvait être réduite de 2MBq/kg à 1MBq/kg tout en maintenant les performances diagnostiques et la qualité des images pour l’exploration des troubles neurocognitifs. Nous avons supposé dans un deuxième temps que l’activité injectée pourrait être réduite d’un facteur dix. L’étude a été réalisée chez 50 patients présentant des troubles cognitifs en TEP/IRM. Nous avons montré que l’activité du 18F-FDG peut être réduite de 2MBq/Kg à 0,2 MBq/Kg sans compromettre les mesures quantitatives. L’interprétation visuelle était reproductible entre le protocole standard et le protocole à ultra-basse dose pour les patients présentant un hypométabolisme sévère, mais moins pour ceux présentant un hypométabolisme modéré. Ces résultats suggèrent qu’un protocole à faible dose (1 MBq/Kg) devrait être privilégié dans le cadre du diagnostic des maladies neurodégénératives.
